Dans le chapitre précédent, nous avons vu combien les musulmans qui supposent que l’évolution est un fait et non une théorie, peuvent ignorer les développements scientifiques récents et pertinents qui réfutent le darwinisme. Cette ignorance les mène à accepter des idées et des croyances réfutées par la science. De plus, ils ignorent que la fondation sous-jacente de l’évolution reflète une mentalité païenne, en considérant le hasard et des évènements naturels comme des divinités (Dieu est au-delà de cela), et qu’elle a engendré des oppressions, des conflits, des guerres et d’autres catastrophes.
Ce chapitre va se focaliser sur les vérités ignorées par les musulmans qui croient faussement en la création par évolution, et va les appeler à arrêter de soutenir la mentalité païenne qui fournit les fondations pour la pensée matérialiste-athée.
L’évolution est une idée païenne de la Grèce antique
Contrairement à ce qu’affirment ses défenseurs, l’évolution n’est pas une théorie scientifique mais une croyance païenne. L’idée d’évolution est apparue pour la première fois dans les sociétés antiques comme l’Egypte, la Babylonie et Sumer, après quoi on la retrouve chez les philosophes de la Grèce antique. Les monuments sumériens antiques contiennent des phrases reniant la création et affirmant que les êtres vivants sont apparus d’eux-mêmes par un processus graduel. Selon la croyance sumérienne, la vie est apparue d’elle-même à partir du chaos de l’eau.
Faisant partie de leurs propres religions superstitieuses, les anciens Egyptiens croyaient que « les serpents, les grenouilles, les vers et les souris apparaissaient dans la boue laissée par les inondations du Nil ». Tout comme les Sumériens, les anciens Egyptiens reniaient l’existence d’un Créateur et ils pensaient que « les êtres vivants apparaissaient par hasard dans la boue ».
L’affirmation la plus importante des philosophes grecs Empédocle (5ème siècle av. JC), Thalès (mort en 546 av. JC) et Anaximandre (mort en 547 av. JC) de Milet était que les premiers êtres vivants s’étaient formés à partir de substances inanimées comme l’air, le feu et l’eau. Cette théorie avançait que les premiers êtres vivants étaient apparus soudainement dans l’eau et qu’ensuite, certains d’entre eux avaient quitté l’eau, s’étaient adaptés à la vie sur terre et avaient commencé à y vivre. Thalès croyait que l’eau était la source de toute vie, que les plantes et les animaux avaient commencé à se développer dans l’eau, et que l’humanité était le produit final de ce processus.1 Anaximandre, un contemporain plus jeune que Thalès, maintenait la croyance erronée selon laquelle « l’homme était descendu des poissons » et que la source de la vie avait commencé avec une « masse primordiale ».2
Le travail de poésie d’Anaximandre, Sur la nature, est le premier travail écrit disponible basé sur la théorie de l’évolution. Dans ce poème, il écrit que des créatures sont sorties de la vase qui avait été asséchée par le soleil. Selon le point de vue erroné d’Anaximandre, les premiers animaux étaient recouverts d’écailles piquantes et qu’ils vivaient dans les mers. Au fur et à mesure que ces créatures ressemblant à des poissons prétendument évoluaient, elles se déplacèrent sur la terre ferme, perdirent leur manteau d’écailles et devinrent finalement des êtres humains.3 On peut considérer sa théorie illogique comme la première pierre de la théorie actuelle de l’évolution, car elle a de nombreuses similitudes avec le darwinisme.
Empédocle rassembla les idées antérieures et suggéra que les éléments fondamentaux (la terre, l’air, le feu et l’eau) s’étaient assemblés pour créer des corps. Il croyait aussi que l’homme s’était développé à partir de la vie végétale et que seul le hasard avait joué un rôle dans ce processus.4Comme mentionné précédemment, ce concept de hasard et son rôle dans la création forment le principe de base sur lequel la théorie de l’évolution est construite.
Héraclès (mort au 5ème siècle av. JC) fit une autre affirmation illogique, que puisque l’univers était dans un processus constant de changement, il n’y avait aucune raison de se poser des questions sur le récit mythique de son commencement et il soutint qu’il n’avait aucun début et aucune fin. Il existait tout simplement.5 En bref, la croyance matérialiste sur laquelle l’évolution est fondée existait aussi dans la Grèce antique.
L’idée trompeuse d’un développement spontané était soutenue par bien d’autres philosophes grecs, et particulièrement Aristote (384-22 av. JC). Cette idée affirmait que les animaux, particulièrement certains vers, insectes et plantes, apparaissaient d’eux-mêmes dans la nature et qu’ils n’avaient donc pas besoin de subir de processus de fertilisation. Maurice Manquat, célèbre pour ses,0 études sur les idées d’Aristote sur l’histoire naturelle, dit une fois :
Aristote était si préoccupé par l’origine de la vie qu’il accepta la génération spontanée (l’assemblage de substances inanimées pour former spontanément un être vivant) pour expliquer certains événements qui ne pouvaient être expliqués d’une autre manière.6
Grâce à une inspection méticuleuse, on peut trouver des similitudes considérables entre les idées des penseurs évolutionnistes du passé et ceux d’aujourd’hui. Les fondations de l’idée matérialiste selon laquelle l’univers n’a ni commencement ni fin, tout comme le point de vue évolutionniste que les êtres vivants sont apparus grâce au hasard, reposent sur la culture sumérienne païenne et ces idées étaient courantes chez les penseurs grecs matérialistes. Les idées que la vie est apparue à partir d’eau et d’une mixture connue comme « masse primordiale », que les êtres vivants sont apparus seulement grâce au hasard, forment les bases de ces deux idées qui sont liées malgré le passage d’une si longue période.
Ainsi, les musulmans qui pensent que l’évolution est logique, soutiennent une théorie dont les racines sont enfouies dans des idées antiques dont on sait qu’elles n’ont aucune base scientifique. De plus, de telles idées furent d’abord proposées par d’anciens penseurs matérialistes et elles contiennent des significations païennes.
En réalité, l’évolution ne se limite pas à l’ancienne culture sumérienne ou aux philosophes de la Grèce antique, car elle forme l’essence d’importants systèmes de croyances contemporains, comme le confucianisme, le taoïsme et le bouddhisme. En d’autres termes, l’évolution n’est rien d’autre qu’une théorie qui est complètement opposée à la croyance islamique.
Certains musulmans qui croient en l’évolution, en dépit des preuves scientifiques montrant le contraire, affirment que le Coran soutient cette soi-disant « théorie créationniste de l’évolution » et essayent de trouver la source de l’évolution dans le monde musulman. Ils affirment que cette idée est venue en premier de penseurs musulmans et que, quand leurs travaux furent traduits, la pensée évolutionniste apparut en Occident.
Cependant, les quelques exemples donnés précédemment révèlent clairement que l’évolution n’est rien d’autre qu’une croyance primitive remontant aux sociétés païennes antiques. Grande erreur serait de tenter de montrer que la pensée évolutionniste, construite sur des fondations matérialistes, puisse être attribuée aux musulmans quand il n’y a absolument aucune base scientifique et historique pour soutenir une telle idée.
Le hasard s’oppose à la vérité de la création
Ceux qui maintiennent qu’il n’y a aucune contradiction entre l’évolution et la création ignorent un point important : ces gens croient que la principale allégation du darwinisme réside dans le fait que les espèces vivantes apparaissent en évoluant les unes à partir des autres. Mais ce n’est pas le cas, car les évolutionnistes affirment que la vie est apparue grâce au hasard, par des mécanismes inconscients. En d’autres mots, que la vie sur Terre est apparue sans l’aide d’un Créateur, d’elle-même à partir de substances inanimées.
Une telle affirmation rejette l’existence d’un Créateur dès le départ, et elle ne peut donc pas être acceptée par un musulman. Mais certains musulmans ignorent cette vérité et ne voient aucun mal à soutenir l’évolution sur l’hypothèse que Dieu a pu utiliser l’évolution pour créer les êtres vivants.
Ce faisant, ils ignorent un danger important : bien qu’ils essayent de montrer que l’évolution est parallèle à la religion, en réalité ils soutiennent et sont en accord avec une idée qui est pratiquement impossible de leur propre point de vue. Pendant ce temps, les évolutionnistes détournent les yeux de cette situation car cela les aide à faire accepter leurs idées par la société.
Les évolutionnistes affirment que la première cellule vivante est apparue dans les conditions de la Terre primitive, à partir de substances inanimées et des effets hasardeux des événements naturels. |
En étudiant le sujet en tant que musulman pieux et en y réfléchissant à la lumière du Coran, une théorie qui est fondamentalement basée sur le hasard ne peut vraiment rien avoir en commun avec l’Islam. L’évolution voit le hasard, le temps et la matière inanimée comme divins, et attribue le titre de « créateur » à ces concepts faibles et inconscients (Dieu est au-delà de cela). Aucun musulman ne peut accepter une théorie aussi païenne, car chaque musulman sait que Dieu, l’unique Créateur, a créé toutes les choses à partir du néant. Par conséquent, il utilise la science et la raison pour s’opposer à toutes les croyances et à toutes les idées qui entrent en conflit avec ce fait.
L’évolution est un composant du matérialisme et, selon le matérialisme, l’univers n’a ni début ni fin, et n’a donc pas besoin de Créateur. Cette idéologie qui est en contradiction avec les principes moraux de la religion, suggère que l’univers, les galaxies, les étoiles, les planètes, le soleil et les autres corps célestes, ainsi que leurs systèmes sans défaut et leur équilibre parfait, sont les conséquences du hasard. De la même manière, la tromperie de l’évolution affirme que la première protéine et la première cellule (les pierres fondatrices de la vie) se sont développées d’elles-mêmes suite à une série de coïncidences aveugles. La même idéologie affirme que la perfection chez les êtres vivants, qu’ils vivent sur terre, dans la mer ou dans le ciel, est le produit du hasard. Bien qu’entourés de toutes parts par des preuves de la création, en commençant par la conception de leur propre corps, les évolutionnistes insistent pour attribuer cette perfection au hasard et à des processus inconscients. En d’autres termes, leur principale caractéristique est de considérer le hasard comme divin afin de renier l’existence de Dieu. Mais un tel refus d’accepter ou de voir l’existence et la grandeur évidente de Dieu ne change rien. Le savoir infini de Dieu et Son art sans pareil se révèlent d’eux-mêmes dans tout ce qu’Il crée.
En fait, des avancées scientifiques récentes rejettent définitivement les affirmations sans fondement des évolutionnistes que la vie est apparue d’elle-même et par des processus naturels. La perfection supérieure de la vie montre qu’un Créateur au savoir et à la connaissance supérieure a créé tous les êtres vivants. Le fait que même les organismes les plus simples sont des organismes à la « complexité irréductible », place tous les évolutionnistes dans un dilemme impossible – un fait qu’ils admettent eux-mêmes souvent ! Par exemple, le mathématicien et astronome britannique célèbre dans le monde entier, Fred Hoyle, admet que la vie n’a pu apparaître grâce au hasard :
L’affirmation des évolutionnistes que la vie s’est formée d’elle-même par hasard à partir de substances inanimées est aussi irrationnelle et illogique que d’affirmer que la Statue de la Liberté s’est formée par le rassemblement de sable et de roches, par coïncidence, quand des éclairs ont frappé la mer.
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Quand on voit, cependant, que la probabilité pour que la vie émane du hasard est si minuscule qu’elle en devient absurde…7
Le zoologiste français Pierre-Paul Grassé confesse qu’attribuer une force créatrice au hasard est un pur fantasme :
Pourtant, la théorie darwinienne est encore plus exigeante : une simple plante, un simple animal nécessiterait des milliers et des milliers d’événements chanceux et appropriés. Ainsi, les miracles deviendraient la règle : des événements à la probabilité infinitésimale se produiraient à coup sûr… il n’y a pas de loi interdisant les rêveries, mais la science ne doit pas s’y adonner.8
Ces paroles illustrent parfaitement le dilemme idéologique des évolutionnistes : même s’ils s’aperçoivent que leur théorie est insoutenable et non scientifique, ils refusent de l’abandonner à cause de leur obsession idéologique. Dans une autre phrase, Hoyle révèle pourquoi les évolutionnistes croient au hasard :
En réalité, une telle théorie (que la vie se soit assemblée par une intelligence) est si évidente qu’on peut se demander pourquoi elle n’est pas largement acceptée. Les raisons sont psychologiques plutôt que scientifiques.9
Ce que Hoyle décrit comme une raison « psychologique » a conditionné les évolutionnistes à nier la création. Toutes ces raisons sont des preuves suffisantes pour que les musulmans qui ont foi en l’évolution la considèrent comme seulement une théorie conçue pour renier Dieu.
La sélection naturelle et les mutations n’ont pas le pouvoir de provoquer une évolution
Les musulmans qui soutiennent à tort la création par évolution et qui ignorent le fait que la science a réfuté l’évolution font face à un autre dilemme : l’affirmation que près de 1,5 million d’espèces vivantes dans la nature sont apparues suite à des événements naturels inconscients.
LA CREATION PARFAITE D’UNE CELLULE |
Même une simple cellule, la pierre de base de la vie, possède une structure énormément complexe. L’image ci-dessus montre certaines des parties composant une cellule. Il y a une organisation extraordinairement complexe et parfaitement planifiée gérant tous ces composants. L’affirmation que tout ceci ait pu apparaître par hasard s’envole face aux découvertes logiques et scientifiques.
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Selon les évolutionnistes, la première cellule vivante est apparue grâce à des réactions chimiques dans la matière inanimée. (Rappelons ici qu’une quantité considérable de preuves scientifiques ont montré que c’est impossible. De plus, les chercheurs qui ont mené des expériences en rassemblant les gaz qui constituaient l’atmosphère primitive de la Terre, ainsi que les conditions atmosphériques appropriées, ont été incapables de « produire » la plus petite brique de base de la vie, la protéine.)10 Puisqu’ils ont échoué à créer un organisme vivant en dépit de toute la technologie et du savoir scientifique disponible, il est naturellement irrationnel et illogique d’affirmer que le hasard aveugle ait pu réussir.
L’arbre imaginaire de la vie des évolutionnistes |
D’après les tromperies évolutionnistes, la vie a débuté avec la première cellule, qu’elle s’est complexifiée, et suppose une diversité encore plus grande jusqu’à la production d’êtres humains. En bref, la théorie énonce que des mécanismes inconscients dans la nature ont dû développer continuellement des êtres vivants. Selon cette assertion irrationnelle par exemple, une bactérie contient le code génétique pour quelques 2.000 protéines tandis qu’un être humain contient le code génétique d’environ 30.000 protéines. En d’autres termes, un mécanisme inconscient a « produit » les données génétiques des milliers de nouvelles protéines au fil du temps.
C’est ce qu’affirme l’évolution. Pourtant, la nature contient-elle réellement un mécanisme qui puisse développer le code génétique d’un être vivant ?
La théorie moderne de l’évolution – connue sous le nom de néo-darwinisme, la version mise à jour de la théorie originale de Darwin qui prend en compte les découvertes récentes de la génétique – propose deux mécanismes fictifs : la sélection naturelle et les mutations.
La sélection naturelle signifie que les plus forts et ceux qui peuvent s’adapter aux conditions naturelles changeantes peuvent survivre au combat pour la vie, tandis que les autres sont éliminés et disparaissent. Par exemple, une chute continue des températures dans une région signifie la disparition de certaines populations animales qui ne peuvent résister. Sur le long terme, seuls les animaux résistants au froid survivent et au final ils composent la totalité de la population.
Il y a assez d’informations dans une molécule d’ADN humain pour remplir 1.000 livres. Cette encyclopédie contient ici trois millions de lettres. La création parfaite dans l’ADN est une preuve du pouvoir et de la puissance infinie de Dieu. |
Ou bien, dans le cas de lapins qui vivent sous la menace permanente de prédateurs, seuls ceux qui s’adaptent le mieux aux conditions prédominantes (par exemple, ceux qui courent le plus vite) survivent et transmettent ainsi leurs caractéristiques aux générations suivantes. Mais une étude approfondie révèle qu’aucune caractéristique nouvelle n’apparaît dans ce cas, car ces lapins ne se transforment pas en une nouvelle espèce et ils n’acquièrent aucune particularité nouvelle. On ne peut donc pas affirmer que la sélection naturelle provoque une évolution.
Cela étant, il reste aux évolutionnistes les mutations. Afin que l’affirmation de l’évolution soit acceptable, les mutations doivent être capables de développer de nouvelles données génétiques. Les mutations se définissent comme des erreurs dans les gènes des êtres vivants qui surviennent soit sous l’effet d’influences extérieures (par exemple, des radiations) soit lors d’erreurs de copie dans l’ADN. Bien évidemment, les mutations peuvent donner naissance à des changements, mais ces changements sont toujours destructeurs. Autrement dit, les mutations ne peuvent pas développer des êtres vivants, au contraire, elles leur nuisent toujours.
La génétique a fait des avancées majeures au cours du 20ème siècle. En étudiant les maladies génétiques chez les êtres vivants à la lumière des progrès de la science, les scientifiques ont montré que les mutations ne sont pas des changements biologiques qui peuvent contribuer à l’évolution. Cela contredit l’affirmation des évolutionnistes. Les avancées de la génétique, en particulier, ont permis de reconnaître que quelques 4.500 maladies génétiques apparemment héréditaires étaient causées en réalité par des mutations.
Pour que des mutations deviennent héréditaires, elles doivent se produire dans les organes reproducteurs (les testicules chez l’homme, les ovaires chez la femme). Seul ce type de changement génétique peut être transmis aux générations suivantes. De nombreuses maladies génétiques sont provoquées par ce type de changements dans ces cellules spécifiques. Les mutations qui se passent dans d’autres organes du corps (par exemple dans le foie ou le cerveau) ne peuvent pas se transmettre aux générations futures. De telles mutations, appelées « somatiques », provoquent de nombreux cancers via la dégénérescence de l’ADN des cellules.
Les mutations aléatoires sont toujours nuisibles aux humains et aux autres êtres vivants. Les conséquences horribles de l’accident nucléaire de 1986 à Tchernobyl montrent les effets des mutations. (1) http://www.ecn.cz/private/c10/tmi.jpg |
Le cancer est le meilleur exemple des dommages causés par les mutations. De nombreux facteurs carcinogènes, comme certaines substances chimiques et les rayons ultraviolets, provoquent des mutations. Suivant les découvertes récentes de gènes oncogéniques et suppresseurs de tumeurs qui, lorsqu’ils fonctionnent mal, sont très efficaces pour provoquer un cancer, les chercheurs ont trouvé comment les mutations mènent aux cancers. Ces deux types de gènes sont nécessaires afin que les cellules se multiplient et pour que le corps puisse se régénérer. Si l’un des deux est endommagé par une mutation, les cellules commencent à croître de manière incontrôlée et le cancer commence à se former. On peut comparer cette situation à une pédale d’accélérateur coincée ou à un frein défaillant dans une voiture. Dans les deux cas, la voiture aura un accident. De la même manière, le taux de croissance incontrôlé des cellules mène d’abord au cancer puis à la mort. Quand les mutations endommagent ces gènes à la naissance, comme dans le cas du rétinoblastome, les bébés affectés meurent rapidement.
Les dommages que subissent les êtres vivants par les mutations ne sont pas limités à ces exemples. Presque toutes les mutations observées jusqu’ici sont nuisibles ; seules quelques-unes sont neutres. En dépit de tout ceci, les évolutionnistes ainsi que les musulmans qui sont trompés par les idées évolutionnistes essayent toujours de soutenir que les mutations sont un mécanisme valide d’évolution. Si les espèces ont évolué des unes vers les autres, comme l’affirment les évolutionnistes, des millions de mutations avantageuses ont dû se produire et être présentes dans chaque cellule reproductrice.
La science, au fur et à mesure de ses avancées, a découvert des millions de mutations nocives et a identifié les maladies résultantes. Cependant, l’évolution fait face à un terrible dilemme : les scientifiques évolutionnistes ne peuvent citer aucune mutation qui augmente les données génétiques. Pierre-Paul Grassé, un des zoologistes français les plus célèbres, éditeur du Traité de Zoologie en 35 volumes, et l’ancien président de l’Académie des Sciences Française, a comparé les mutations aux lettresincorrectes se retrouvant lors de la copie d’un texte écrit. Et tout comme ces lettres incorrectes, les mutations n’augmentent pas l’information ; elles endommagent plutôt les données déjà existantes. Grassé énonce ce fait de la manière suivante :
De la même façon qu’un tremblement de terre détruit une ville au lieu de la développer, les mutations aléatoires mènent aux maladies, aux difformités et à des handicaps chez les êtres vivants.
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Les mutations, dans le temps, surviennent de manière incohérente. Elles ne sont pas complémentaires les unes des autres, elles ne se cumulent pas au cours des générations suivantes vers une direction donnée. Elles modifient ce qui persiste, mais elles le font en désordre, quelle que soit la manière… Dès qu’un désordre quelconque, même mineur, apparaît dans un être organisé, la maladie puis la mort s’ensuivent. Il n’y a pas de compromis possible entre le phénomène de la vie et l’anarchie.11
En considérant ce fait, les mutations, comme le dit Grassé, « quel que soit leur nombre, [elles] ne produisent aucune sorte d’évolution ». On peut comparer les effets des mutations à un tremblement de terre. Tout comme un tremblement de terre n’aide pas à développer ou à améliorer une ville mais l’effondre plutôt, les mutations ont des effets négatifs du même ordre. De ce point de vue, les affirmations des évolutionnistes concernant les mutations sont totalement infondées. (Pour plus de détails, cf. Le mensonge de l’évolution de Harun Yahya, Editions Essalam, Paris, 2002)
Des études sur les fossiles prouvent la création
En considérant les faits précédents, les avancées scientifiques montrent que la sélection naturelle et les mutations n’ont pas de force évolutionnaire. Puisqu’aucun mécanisme évolutionnaire n’existe, aucune évolution n’a pu avoir lieu dans le passé. Mais les évolutionnistes continuent d’affirmer que tous les êtres vivants ont évolué des uns vers les autres au moyen d’un processus graduel qui s’est déroulé sur des centaines de millions d’années. Leur erreur est cachée dans cette logique, car si leur scénario était vrai, d’innombrables formes de transition appartenant à l’intervalle de temps en question auraient dû exister. De plus, on aurait dû retrouver leurs restes fossilisés.
Les affirmations illogiques des évolutionnistes sont évidentes dans chaque cas. Considérons l’apparition des poissons, dont les évolutionnistes disent qu’ils ont évolué à partir d’invertébrés. Si c’était le cas, de nombreux exemples de formes de transition auraient dû exister pour permettre une évolution graduelle. En d’autres termes, on devrait être capable de voir les restes fossiles de nombreuses espèces ayant à la fois les caractéristiques des poissons et des invertébrés. Cependant, en dépit des nombreux fossiles de poissons et d’invertébrés retrouvés par les scientifiques, aucun fossile de la moindre forme de transition qui pourrait confirmer leur affirmation n’a jamais été retrouvé. Une telle absence, à son tour, signifie qu’il n’y a jamais eu d’évolution. (En fait, le premier poisson sur terre est apparu à la même période géologique que les premiers invertébrés complexes connus. Les fossiles de poisson remontent à 530 millions d’années.12 Au cours de cette époque, connue sous le nom d’âge cambrien, tous les principaux groupes d’invertébrés sont apparus tout d’un coup sur terre.)
Bien que les évolutionnistes soient au courant de ce fait, ils ont recours à la démagogie et à de fausses preuves pour que les gens croient en l’évolution.13 Même Darwin savait que les fossiles ne soutenaient pas sa théorie ; il espérait simplement qu’on en découvrirait plus avec le temps et qu’on retrouverait les formes de transition manquantes. Les évolutionnistes d’aujourd’hui, pourtant, ne peuvent plus avoir le même espoir. Ils admettent même que les archives fossiles sont si riches et diversifiés qu’ils révèlent l’histoire de la vie. Le professeur N. Heribert Nilsson, un botaniste évolutionniste suédois de l’Université de Lund, dit la chose suivante à propos des fossiles :
Mes tentatives pour démontrer l’évolution par une expérience menée depuis plus de 40 ans ont complètement échoué… Les fossiles sont maintenant si complets qu’il est impossible de construire de nouveaux groupes, et le manque de séries de transition ne peut pas s’expliquer par une rareté des découvertes. Les insuffisances sont réelles, (et) elles ne seront jamais comblées.14
T. Neville George, un professeur de paléontologie de l’Université de Glasgow, énonce que, bien que les archives fossiles soient riches, les formes de transition depuis si longtemps recherchées n’ont pas encore été trouvées :
Il n’y a plus besoin de s’excuser plus longtemps pour la pauvreté des archives fossiles. D’une certaine façon, ils sont devenus tellement riches qu’ils sont ingérables et les découvertes dépassent l’intégration… Les fossiles continuent néanmoins d’être principalement composés de trous.15
Les évolutionnistes vont même jusqu’à admettre qu’en plus de nier l’évolution, les fossiles fournissent des preuves scientifiques en faveur de la vérité de la création. Par exemple, le paléontologue évolutionniste Mark Czarnecki confesse :
Un problème majeur pour prouver la théorie a été les fossiles ; les empreintes d’espèces disparues préservées dans les formations géologiques de la Terre. Ces empreintes n’ont jamais révélé de traces des formes intermédiaires hypothétiques de Darwin – au lieu de cela, les espèces apparaissent et disparaissent abruptement, et cette anomalie a entretenu l’argument créationniste que chaque espèce a été créée par Dieu… 16
Comme on l’a vu, les évolutionnistes ont souffert d’une terrible déception sur le sujet des formes de transition. Aucune fouille nulle part au monde n’a mis à jour la moindre trace d’une quelconque forme de transition depuis que Darwin émit cette hypothèse. Ces découvertes ont toutes contribué à anéantir les espoirs des évolutionnistes, et cela montre que les êtres vivants sont apparus soudainement sur Terre, pleinement développés, et sans défauts.
Cependant, même s’ils savent que les formes de transition n’ont jamais existé, les scientifiques évolutionnistes refusent d’abandonner leur théorie. Ils proposent des commentaires préconçus sur un certain nombre de fossiles. Dans son ouvrage In Search of Deep Time, Henry Gee, éditeur du célèbre magazine Nature, décrit combien ces commentaires sont réellement scientifiques :
… on arrange les fossiles selon un ordre qui reflète l’acquisition graduelle de ce que nous voyons en nous-mêmes. On ne recherche pas la vérité, on la crée après les faits, pour qu’elle corresponde à nos propres préjugés… Prendre une branche de fossiles et affirmer qu’ils représentent une lignée n’est pas une hypothèse scientifique qui peut être testée, mais une affirmation qui porte la même validité qu’une histoire pour enfants – amusante, peut-être même instructive, mais pas scientifique.17
C’est pourquoi les croyants ne doivent pas être dupés par les jeux de mots et les mensonges habillés d’une apparence scientifique. C’est une grande erreur de croire que des gens, juste parce qu’ils sont scientifiques, disent la vérité et qu’on doit les croire. Les scientifiques évolutionnistes n’ont aucun remord à cacher la vérité, à déformer les faits scientifiques, et même à produire des preuves contrefaites au nom de leur idéologie. L’histoire du darwinisme est remplie d’exemples de ce type.
Pas un seul fossile de la moindre forme de transition avancée par les évolutionnistes n’a jamais été retrouvé. A travers l’histoire, les poissons ont toujours existé en tant que poissons, les oiseaux en tant qu’oiseaux et les êtres humains en tant qu’êtres humains. |
Quand on considère ne serait-ce que les bases principales du darwinisme, son invalidité et ses fondations totalement mauvaises sont immédiatement apparentes. Quand on regarde les détails, la situation est encore plus claire. (Pour plus d’informations, cf. Le mensonge de l’évolution de Harun Yahya, Editions Essalam, Paris, 2002)
Contrairement à ce qu’affirment les évolutionnistes, on voit une grande conception et un plan dans les caractéristiques des choses inertes et des êtres vivants, où que l’on regarde. C’est un signe que Dieu les a tous créés. Les évolutionnistes continuent de mener leur combat désespéré parce qu’ils ne veulent pas accepter ce fait. En tant que matérialistes engagés, ils essayent de ramener un mort à la vie.
Tout ceci aboutit à une seule conclusion : le darwinisme détourne les gens de la raison, de la science et de la vérité et les dirige vers l’irrationalité. Les gens qui croient en l’évolution refusent de suivre la voie de la raison et de la science, et ils se laissent duper par les absurdités superstitieuses qui remontent aux années 1800 quand Darwin était en vie. Finalement, ils commencent à croire que le hasard joue un rôle divin, même si l’univers entier est rempli de signes de la création. Il suffit d’observer un seul des mécanismes parfaits dans le ciel et dans la mer, dans les animaux et les plantes, afin de comprendre cela. Dire que tout cela est le résultat du hasard est une insulte à la raison, à la logique et à la science. Il faut alors reconnaître la puissance et la grandeur de Dieu, et se soumettre ensuite à Lui.
C’est une erreur de penser que Charles Darwin était religieux
Une grande partie des gens croyants qui soutiennent la théorie de l’évolution suggère que Charles Darwin était religieux. Mais ils ont définitivement tort car durant sa vie Darwin révéla ses points de vue négatifs sur Dieu et la religion.
Darwin croyait en Dieu lorsqu’il était jeune, mais sa croyance s’amenuisa au fil du temps et elle fut remplacée par l’athéisme à l’âge adulte. Pourtant, il ne parla pas de ce fait, car il ne voulait pas s’attirer la moindre opposition de sa femme pieuse en particulier, autant que de ses proches parents et des institutions religieuses. Dans son livre Darwin and the Darwinian Revolution (Darwin et la révolution darwinienne), l’historienne darwiniste Gertrude Himmerlfarb écrit : « L’ampleur de l’incrédulité de Darwin, par conséquent, ne peut se voir ni dans son œuvre publiée ni même dans son autobiographie publiée, mais seulement dans la version originale de cette autobiographie. »18 Son livre révèle aussi que lorsque le fils de Darwin, Francis, était sur le point de publier The Life and Letters of Charles Darwin (La vie et les lettres de Charles Darwin), la femme de Darwin, Emma, s’opposa au projet et ne voulut pas donner sa permission, craignant que les lettres ne provoquent un scandale après sa mort. Emma avertit son fils d’enlever les sections qui faisaient ouvertement référence à l’athéisme. La famille entière craignait que de telles phrases puissent nuire au prestige de Darwin.19
Selon le biologiste Ernst Mayr, un fondateur du néo-darwinisme : « Il est évident que Darwin perdit sa foi au cours des années 1836-39, la plus grande partie bien avant sa lecture de Malthus. Afin de ne pas blesser les sentiments de ses amis et de sa femme, Darwin utilisait souvent un langage divin dans ses publications, mais tout indique dans ses notes qu’à cette époque il était devenu ‘matérialiste’.« 20
Darwin gardait toujours à l’esprit les réactions de sa famille, et toute sa vie il cacha soigneusement ses idées sur la religion. Il agit ainsi, d’après ses propres paroles, parce que :
Il y a plusieurs années de cela, un ami me conseilla fortement de ne jamais introduire quoi que ce soit concernant la religion dans mes travaux, si je voulais faire avancer la science en Angleterre ; et cela me conduisit à ignorer les rapports entre les deux sujets. Si j’avais prévu à quel point le monde deviendrait plus libéral, j’aurais peut-être agi différemment. 21
Comme on peut le voir dans la dernière phrase, si Darwin avait été sûr de ne pas provoquer de réaction, il aurait pu être moins prudent. Quand Karl Marx (1818-83) proposa de dédicacer son ouvrage Le Capital à Darwin, Darwin refusa fermement cet honneur sur la base que cela blesserait certains membres de sa famille s’il se trouvait associé à un livre si athée.22
Cependant, on peut encore trouver l’attitude pervertie de Darwin face aux croyances et concepts spirituels dans ces paroles à l’attention de son cousin : « Je considère tous les sentiments humains comme des vestiges de germes chez les animaux. »23
Et si Nous faisions descendre les anges vers eux, [comme ils l’avaient proposé] si les morts leur parlaient, et si Nous rassemblions toute chose devant eux, ils ne croiraient que si Dieu veut. Mais la plupart d’entre eux sont ignorants.(Coran, 6 : 111)
Darwin s’opposait également à l’instruction religieuse des enfants de par sa croyance qu’ils devaient être libérés des croyances religieuses.24
Ces points de vue antireligieux ont survécu jusqu’à nos jours comme une sorte d’héritage pour les évolutionnistes. Tout comme Darwin ne voulait pas que les enfants soient instruits sur Dieu au cours de leur éducation, les évolutionnistes modernes s’opposent avec férocité à l’enseignement du créationnisme dans les écoles. Ils s’engagent dans du lobbying actif partout dans le monde pour retirer la création des programmes scolaires.
L’athéisme de Darwin et ses efforts pour le cacher
Il fait l’allusion suivante concernant son propre manque de foi : « L’incrédulité s’est emparée de moi très lentement, mais au final elle m’a envahi entièrement… » 25
« l’incrédulité s’est emparée de moi très lentement, mais au final elle m’a envahie entièrement… » Charles Darwin
Le même livre décrit comment le père de Darwin le prit à part le jour de son mariage et lui recommanda de cacher ses doutes sur la religion à sa femme. Mais Emma était consciente de ce déclin dans sa foi dès le début. Quand son livre La filiation de l’homme fut publié, elle confessa à sa fille au sujet des sentiments antireligieux du livre :
Je ne l’aime pas du tout car il rejette Dieu un peu plus loin.26
Dans un autre passage, Darwin révéla ses vraies pensées à propos de la religion :
… l’époque, à laquelle j’écrivis « L’origine des espèces » ; et depuis cette époque elle [ma foi] s’est affaiblie peu à peu, avec beaucoup de fluctuations… 27
En même temps, il trouvait étrange que tout le monde ait des croyances religieuses, et il déclara que les gens, dont il pensait qu’ils avaient évolué à partir d’animaux primitifs, ne pouvaient faire confiance à ces croyances :
Peut-on avoir confiance en l’esprit de l’homme, lequel a comme je le crois été développé à partir d’un esprit aussi faible que celui des plus petits animaux, quand il tire d’aussi grandes conclusions ?28
Une fois encore, Darwin s’est trompé. Toutes les découvertes scientifiques ont souligné déjà qu’il est absolument faux d’affirmer, comme Darwin l’a fait, que les êtres humains descendent des animaux. L’homme est homme depuis le moment où il est apparu. C’est un être de raison et d’intelligence capable de juger et de comprendre. La foi en Dieu est la seule véritable conclusion rationnelle que quiconque doué de raison et de bon sens peut tirer de toutes les preuves l’entourant.
La raison fondamentale pour laquelle Darwin reniait l’existence de Dieu était la fierté. On s’en aperçoit dans la phrase suivante :
Dans le sens où une divinité omnipotente et omnisciente doit commander et tout connaître, cela doit être admis ; pourtant, pour être honnête, je ne peux l’admettre.29
Dans un court appendice à l’histoire de sa vie, il écrit :
Je ne me sens pas coupable d’avoir commis le moindre péché majeur.30
Les phrases de Darwin reniant l’existence de Dieu et de la religion suivent en réalité une logique athéiste classique. Un verset coranique décrit comment ceux qui renient Dieu réalisent en fait qu’Il existe mais continuent à Le renier par arrogance :
Ils les nièrent injustement et orgueilleusement, tandis qu’en eux-mêmes ils y croyaient avec certitude. Regarde donc ce qu’il est advenu des corrupteurs. (Coran, 27 : 14)
Le point le plus important ici est celui-ci : l’athéisme de Darwin a eu la plus grande influence sur l’élaboration de sa théorie. Il déforma des faits, des observations et des preuves afin de soutenir son préjugé que la vie n’a pas été créée. Quand on lit L’origine des espèces, on voit clairement à quel point Darwin peine à rejeter toutes les preuves de la création (par exemple, les structures complexes des êtres vivants, les archives fossiles qui montrent des apparitions soudaines, et les faits pointant les limites des différences entre espèces vivantes dans la nature), et la manière dont il remet à plus tard ces choses qu’il ne peut pas expliquer immédiatement en disant : « Peut-être que ce problème sera résolu dans le futur ». S’il avait été un scientifique neutre, il n’aurait pas affiché un tel dogmatisme. Son propre style et ses propres méthodes montrent que Darwin était un athée qui ancra sa théorie dans l’athéisme.
En fait, les athées soutiennent Darwin depuis les 150 dernières années et les idéologies irréligieuses ont soutenu le darwinisme précisément à cause de cet athéisme. Ainsi, étant donné l’athéisme de Darwin, les musulmans ne doivent pas faire l’erreur de penser qu’il était religieux, ou qu’il n’était pas opposé à la religion, et ils ne doivent pas continuer à le soutenir pas plus que sa théorie et ceux qui pensent comme lui. S’ils le font, ils se placent aux côtés des athées.
Le darwinisme a mené l’humanité de désastre en désastre
Au début de ce livre, nous avons vu que certains musulmans décrivent le darwinisme comme un fait scientifiquement prouvé et qu’ils ignorent sa véritable face. Le darwinisme, qui a fourni un support « scientifique » au fascisme et au communisme, les idéologies les plus sanglantes du 20ème siècle, a même une « véritable » face encore plus noire.
Ces idéologies, qui ont atteint leurs pics de violences au cours du siècle dernier, sont responsables des révolutions communistes et des coups d’état fascistes, ainsi que de combats, de conflits, de guerres civiles et de la division du monde en deux blocs. Les dictateurs sanglants tels que Lénine, Staline, Mao, Pol Pot, Hitler, Mussolini et Franco ont laissé leurs marques. Environ 120 millions de personnes sont mortes suite aux cruautés infligées par les seuls régimes communistes, et les deux guerres mondiales ont à elles seules coûté la vie à 65 millions de personnes. La deuxième guerre mondiale, qui a commencé avec l’invasion d’Hitler en Pologne en 1939, fut un véritable désastre pour l’humanité. (Pour plus de détails, cf. Les désastres causés à l’humanité par le darwinisme de Harun Yahya, Al-Attique Publishers Inc., Ontario, 2001)
Le darwinisme se retrouve à la base idéologique de toutes ces catastrophes morales, économiques et politiques, car il les nourrit et les fortifie.
Le communisme, le fascisme et le darwinisme
Karl Marx et Friedrich Engels, les pères fondateurs du communisme, mentionnèrent dans leurs ouvrages à quel point le darwinisme les influença. Marx afficha sa sympathie pour Darwin en lui remettant une copie de son livre, Le Capital, dans lequel il avait écrit une note personnelle. L’édition allemande portait même le message suivant de sa propre main : « A Charles Darwin, d’un véritable admirateur, de Karl Marx. »
Le darwinisme était tellement important pour le communisme que dès la publication du livre de Darwin, Engels écrivit à Marx : « Darwin, que je suis en train de lire, est tout juste splendide. »31
L’important communiste russe Georgi Valentinovich Plekhanov considérait le marxisme comme « le darwinisme dans son application aux sciences sociales ».32
Lenin
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Stalin
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Mao
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Mussolini
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Franco
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Hitler
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Le plus important mentor idéologique d’Hitler, l’historien allemand raciste Heinrich von Treitschke, disait : « Les nations ne peuvent prospérer sans une intense compétition, comme la lutte pour la survie de Darwin »33, montrant ainsi l’origine de la violence aux racines du nazisme. Hitler lui-même était un darwiniste. S’inspirant de la tromperie de »la lutte pour la survie » employée par Darwin, il appela son propre ouvrage Mon combat. Lors d’un rassemblement politique en 1933 à Nuremberg, Hitler proclama que : « Une race supérieure domine une race inférieure… un droit que nous voyons dans la nature et qui peut être considéré comme le seul droit concevable, car il est fondé sur la science.« 34 Cela montre à quel point il fut influencé par Darwin.
Mussolini, le leader du fascisme italien, préférait également le darwinisme comme opinion mondiale et il tenta de s’en servir pour justifier l’invasion de l’Ethiopie. Franco, le dictateur espagnol de cette époque, mettait aussi en pratique l’idéologie darwiniste.
En affirmant, selon sa logique pervertie, que la vie est un combat que le plus fort est destiné à gagner et que le plus faible est condamné à perdre, Darwin a ouvert la porte à la force brute, à la violence, aux guerres, aux conflits et aux massacres à grande échelle. Les dictateurs qui opprimaient leur peuple, chez eux ou à l’étranger, étaient si inspirés par le darwinisme qu’ils se paraient de ses enseignements. De leur point de vue pervers, les lois de la nature exigeaient que le faible soit écrasé et détruit et que les gens n’aient pas nécessairement de valeurs propres, puisqu’ils avaient évolué à partir des animaux.
La défense du darwinisme facilite la propagation du communisme
Le communisme est une idéologie hostile aux valeurs morales de la religion, de par la philosophie matérialiste sur laquelle il est basé et par l’analyse historique qu’il propose. Il commence par renier l’existence de Dieu (Dieu est au-delà de cela), et son analyse historique, qui décrit la religion comme « l’opium du peuple », selon ses propres pensées dépravées, appelle à éradiquer toute religion afin d’ériger sa société communiste.
Tous les régimes communistes combattent donc la religion, attaquent les valeurs religieuses, détruisent les lieux de culte et proscrivent l’observation des obligations religieuses. Les régimes de l’ancienne Union Soviétique, de Chine, du Cambodge, de Bulgarie et d’Albanie ont suivi des politiques si antireligieuses qu’elles ont frôlé et parfois mené au génocide.
Le darwinisme joue un rôle important dans l’idéologie marxiste de haine des religions. Darwin fournit à l’athéisme marxiste une base prétendue scientifique, ce qui explique pourquoi Marx et Engels étaient si reconnaissants à son égard. L’éloge d’Engels est particulièrement saisissant :
Il (Darwin) porta le coup le plus puissant à la conception métaphysique de la Nature en prouvant que tous les êtres organiques, les plantes, les animaux, et même l’homme, sont les produits d’un processus d’évolution s’étalant sur des millions d’années.35
En suggérant que Darwin avait expliqué le processus évolutionnaire à travers sa théorie, Engels commit une grave erreur. Car la théorie de Darwin n’était basée sur aucune preuve scientifique, se limitant à l’expression d’opinions personnelles issues d’hypothèses et de préjugés divers. Grâce aux progrès de la science, les idées de Darwin furent, en effet, infirmées, une à une. Avec le temps, l’information et les découvertes rassemblées contribuaient à prouver, non pas la théorie de l’évolution comme l’espéraient les matérialistes, mais le fait de la création.
Les conflits reposent au cœur de la philosophie marxiste (matérialisme dialectique), laquelle affirme que l’univers fonctionne selon la loi des affrontements entre contraires. Autrement dit, la proposition de Darwin de lutte pour la survie dans la nature est maintenant appliquée aux sociétés humaines. Le darwinisme était le plus grand soutien pour l’idéologie communiste, qui voyait l’histoire humaine comme un champ de bataille et qui préparait le terrain pour d’autres conflits.
L’évolutionniste P. J. Darlington explique que la violence est une conséquence naturelle de la croyance en cette théorie :
Le premier point est que l’égoïsme et la violence sont ancrés en nous, hérités de nos plus lointains ancêtres animaux… La violence est alors naturelle pour l’homme ; un produit de l’évolution.36
Comme pour tous leurs autres principes, cette suggestion évolutionniste s’avère fausse. Au moyen de leur intellect, de leurs consciences et de leur jugement, les êtres humains sont parfaitement capables de distinguer le bien du mal. Ils savent que des sentiments d’égoïsme, d’ingratitude, de colère, de haine et d’inimité sont mauvais et savent également comment éviter ces maux.
Les marxistes croient que les sociétés accepteront leur idéologie s’ils les amènent à croire au darwinisme. Ils attachent tellement d’importance à la tromperie de Darwin qui dit que « la violence et les conflits sont des lois naturelles immuables ». C’est pourquoi toutes les organisations terroristes orientées vers le communisme donnent à leurs militants des mois d’entraînement pour apprendre le communisme, le matérialisme dialectique et le darwinisme. La théorie de Darwin encourage ces gens à croire qu’ils ne sont que des animaux et que, comme pour les animaux, les gens doivent se battre pour survivre. Ainsi beaucoup de jeunes gens deviennent des monstres capables de tuer et même de massacrer impitoyablement des enfants et des bébés.
Il (Darwin) porta le coup le plus puissant à la conception métaphysique de la nature en prouvant que tous les êtres organiques, les plantes, les animaux, et même l’homme, sont les produits d’un processus d’évolution s’étalant sur des millions d’années. Friedrich Engels
De cette manière, l’idéologie communiste mena des guerres civiles et des guérillas ainsi que des actes de terrorisme dans de nombreux pays tout au long du 20ème siècle. C’est pourquoi le combat intellectuel contre le darwinisme est si important : si le darwinisme est présenté comme une erreur et s’il s’effondre, les philosophies marxistes basées sur lui tomberont en miettes. Puisque le darwinisme joue un rôle si important dans l’idéologie communiste antireligieuse, soutenir l’une signifie soutenir l’autre. Essayer de justifier le darwinisme en cherchant à le réconcilier avec la religion et affirmer que Dieu a utilisé l’évolution pour créer les êtres vivants, alors qu’il n’y a pas un brin de vérité là-dedans, signifie justifier le communisme. Les communistes savent que la religion et le darwinisme sont incompatibles, mais ils restent silencieux quand ils sont confrontés à des gens pieux qui acceptent la création évolutionnaire afin que les deux idéologies puissent se répandre facilement dans le monde entier. La chose importante est d’abord d’ouvrir une porte pour accepter le darwinisme.
La croyance des communistes en l’évolution s’enracine dans leur dévouement aveugle envers leur idéologie. Par exemple Robert Shapiro, un professeur évolutionniste de chimie et expert de l’ADN, dit que l’affirmation principale de la théorie, que des substances inanimées se sont organisées et ont formé l’ADN et l’ARN, n’est basée sur aucun fait scientifique. Il continue :
Un autre principe évolutionniste est donc requis pour franchir l’étape menant d’un mélange de simples produits chimiques naturels au premier réplicateur efficace. Ce principe n’a pas encore été décrit dans le détail ni démontré, mais on l’anticipe, et des noms comme évolution chimique ou organisation de la matière lui sont donnés. L’existence du principe est considérée comme acquise dans la philosophie du matérialisme dialectique… 37
Comme énoncé par Shapiro, les évolutionnistes continuent de défendre la théorie de l’évolution à cause de leur adhésion dogmatique à la philosophie matérialiste. Cela indique que le moindre soutien donné à cette théorie signifie également donner un soutien direct à la philosophie matérialiste, dont la propagation prépare inévitablement le terrain pour l’entrée de l’idéologie communiste dans une société. Ce lien révèle comment l’idéologie communiste tire sa force du darwinisme.
Les musulmans qui soutiennent la théorie de l’évolution doivent réfléchir à cette vérité. Ils ne doivent pas partager de perspective commune avec les communistes, qui ont été et restent les pires ennemis de la religion, et/ou soutenir une idée qui est la base soi-disant « scientifique » du communisme. Cela devient encore plus important quand on se souvient que le communisme n’est pas mort mais qu’il dirige des régimes autoritaires comme la Corée du Nord et, ce qui est plus dangereux, qu’il domine toujours le système politique et la culture politique de la Chine, malgré son apparence « capitaliste » en surface.
Le racisme de Darwin
Un des aspects les plus importants et pourtant le moins connu de Darwin est son racisme : Darwin considérait les Européens blancs comme plus « avancés » que les autres races humaines. En supposant que l’homme ait évolué à partir de créatures simiesques, il pensait que certaines races s’étaient développées plus que d’autres et que ces dernières possédaient toujours des caractéristiques simiesques. Dans son livre, La filiation de l’homme, qu’il publia après L’origine des espèces, il commente largement « les grandes différences existant entre les hommes de races distinctes ».38 Dans son livre, Darwin affirme que les noirs et les Aborigènes australiens sont égaux aux gorilles et il déduit qu’ils seront « supprimés » par « les races civilisées » au fil du temps. Il dit ainsi :
Les mouvements racistes néo-nazis se répandent dans de nombreux pays. Au coeur de ces mouvements se retrouve une haine fasciste des gens pour les autres nations. Derrière cette idée repose le darwinisme, selon lequel, l’infériorité de certaines races par rapport à d’autres est très naturelle. |
Dans le futur, pas très lointain en comptant par siècles, les races humaines civilisées vont certainement exterminer et remplacer les races sauvages du monde entier. Les singes anthropomorphes seront alors sans doute aussi exterminés. La rupture entre l’homme et ses alliés les plus proches sera alors plus large. Elle séparera les hommes civilisés, (encore plus civilisés que le Caucasien, nous l’espérons) des singes aussi inférieurs que le babouin, plutôt que de séparer, comme aujourd’hui, le nègre ou l’Australien du gorille.39
Les idées absurdes de Darwin n’ont pas seulement été théorisées, mais elles ont également reçu un degré de respectabilité scientifique et social qui leur permet de fournir le « terrain scientifique » le plus important pour le racisme. Supposant que les êtres vivants ont évolué au cours de la lutte pour leur survie, le darwinisme fut bientôt appliqué aux sciences sociales. Connu comme le « darwinisme social », cette nouvelle idéologie prétend que les races humaines sont situées à différents niveaux de « l’échelle évolutionniste », que les races européennes sont les plus « avancées » de toutes, et que bien d’autres races affichent toujours des caractéristiques de « singe ».
De plus, le darwinisme ne se limite pas à préparer le terrain pour des attaques racistes, car il autorise aussi tous types d’actions destructrices et séparatistes. Ce principe, qui soutient que « la vie est un combat », a créé un argument qui justifie l’emprisonnement de gens vivant en paix dans le même pays dans des camps de concentration, aussi bien que l’usage de la violence et de la force brute, de guerres, d’assassinats et de meurtres.
Cependant, les musulmans qui réalisent que Dieu les a créés ainsi que tout le reste, que Dieu a soufflé de Son esprit en eux, que le monde est un endroit de paix et de fraternité, que tous les gens sont égaux, et que chaque personne sera punie dans l’au-delà pour tout ce qu’elle a fait dans ce monde, ne peuvent faire du mal aux autres. Seuls ceux qui croient qu’ils sont apparus par hasard, qu’ils n’ont aucune responsabilité envers les autres, qu’ils n’auront aucun compte à rendre pour leurs actions, et qui croient que le monde est un lieu de conflits, peuvent s’engager dans de telles activités.
C’est pourquoi les musulmans doivent écouter leur conscience avant d’accepter le darwinisme, et comprendre le véritable prix du soutien d’une théorie que la science elle-même réfute. Les dommages que le darwinisme a causés à l’humanité sont clairs. Les tragédies, les souffrances et les conflits auxquels il mène sont bien connus. Comme on l’a vu à travers ce chapitre, la manière dont les gens sont amenés à croire en des idées illogiques et irrationnelles devrait nous convaincre que le darwinisme est une menace importante.
NOTES :
- David Skjaerlund, Philosophical Origins of Evolution, (http://www.forerunner.com/forerunner/x0742-philosophical-origin.html)
- http://www.candleinthedark.com/anaximander.html
- http://buglady.clc.uc.edu/biology/bio106/earlymod.htm
- David Skjaerlund, Philosophical Origins of Evolution, (http://www.forerunner.com/forerunner/x0742-philosophical-origin.html)
- http://buglady.clc.uc.edu/biology/bio106/earlymod.htm
- Maurice Manquat, Aristote naturaliste, Paris : Librairie Philosophique, J. Vrin, 1932, p. 113
- Sir Fred Hoyle & Chandra Wickramasinghe Professeur d’Astronomie, Cambridge University. Professeur d’Astronomie et de mathématiques appliquées, University College, Cardiff Evolution from Space, J. M. Dent, 1981, pp.141, 144
- Pierre-Paul Grassé, Evolution of Living Organisms, Academic Press, New York, 1977, p.103
- Fred Hoyle, Chandra Wickramasinghe, Evolution from Space, Dent, Londres, 1981, p.130
- Le scénario évolutionniste lié à l’origine de la vie est appelé théorie de l’évolution chimique. D’innombrables expériences menées au cours du 20ème siècle ont échoué à soutenir cette théorie. L’expérience de Stanley Miller, le cas le plus célèbre, consistait en sa prétendue « création » d’une atmosphère primitive et de la synthèse ultérieure de quelques acides aminés. Mais il fut reconnu plus tard que l’atmosphère primitive était beaucoup plus hostile aux composés organiques que Miller l’avait supposé. Personne n’a jamais été capable de dupliquer l’assemblage de protéines, les véritables premières pierres de la vie, dans aucune expérience « d’évolution chimique ». Pour plus de détails, cf. Darwinism Refuted de Harun Yahya, Goodword Books, New Delhi, 2003.
- Pierre-Paul Grassé, Evolution of Living Organisms, Academic Press, New York, 1977, p. 97
- En 1999, des paléontologues chinois, à la faune Chengjiang, ont découvert les fossiles de deux espèces de poisson qui avaient environ 530 millions d’années. Cette période est connue sous le nom de cambrien inférieur. Cf. BBC News Online, 4 novembre 1999
- L’histoire du darwinisme inclut quelques exemples notoires de fausses preuves. « L’homme de Piltdown », exposé au British Museum pendant environ un demi-siècle comme « l’ancêtre primitif de l’homme », s’avéra être un canular fabriqué par l’assemblage de la mâchoire d’un orang-outang à un crâne humain. Le biologiste allemand Ernst Haeckel falsifia les dessins d’embryons humains et d’animaux pour les rendre similaires, et ses faux dessins trompèrent l’académie pendant des décennies. Les célèbres photos de Ketllewells de « mélanisme industriel », montrant les papillons poivrés de Grande-Bretagne, se sont révélées récemment être des scènes reconstituées dans lesquelles des spécimens morts étaient collés à des troncs d’arbres. Le stupéfiant « dinosaure-oiseau », appelé archæoptéryx et qui choqua le monde en 1998, s’est avéré être un canular fabriqué en collant ensemble cinq fossiles différents appartenant à des espèces différentes. Pour plus de détails, cf. Darwinism Refuted de Harun Yahya, Goodword Books, New Delhi, 2003
- Prof. N. Heribert Nilsson, Lund University, Suède. Célèbre botaniste et évolutionniste, comme cité dans : The Earth Before Man, p. 51, (http://www.netcentro.co.uk/steveb/penkhull/create3.htm)(Emphasis added)
- T. Neville George, « Fossils in Evolutionary Perspective », Science Progress, vol. 48, janvier 1960, pp. 1, 3 (soulignement ajouté)
- Mark Czarnecki, « The Revival of the Creationist Crusade », MacLean’s, 19 janvier 1981, p. 56
- Henry Gee, In Search of Deep Time, New York, The Free Press, 1999, pp. 116-117
- Gertrude Hommerfarb, Darwin and the Darwinian Revolution, Elephant Paperbacks, Chicago, 1962, p. 384 (soulignement ajouté)
- Gertrude Himmerfarb, Darwin and the Darwinian Revolution, Elephant Paperbacks, Chicago, 1962, p. 383
- Mayr, Ernst, « Darwin and Natural Selection », American Scientist, vol. 65 (mai/juin, 1977) p. 323 (soulignement ajouté)
- Gertrude Himmerfarb, Darwin and the Darwinian Revolution, Elephant Paperbacks, Chicago, 1962, p. 383
- Gertrude Himmerfarb, Darwin and the Darwinian Revolution, Elephant Paperbacks, Chicago, 1962, p. 383
- Gertrude Himmerfarb, Darwin and the Darwinian Revolution, Elephant Paperbacks, Chicago, 1962, p. 384
- Gertrude Himmerfarb, Darwin and the Darwinian Revolution, Elephant Paperbacks, Chicago, 1962, p. 385
- Gertrude Himmerfarb, Darwin and the Darwinian Revolution, Elephant Paperbacks, Chicago, 1962, p. 381 (soulignement ajouté)
- Gertrude Himmerfarb, Darwin and the Darwinian Revolution, Elephant Paperbacks, Chicago, 1962, p. 382
- Francis Darwin, The Life and Letters of Charles Darwin, D. Appleton and Co., 1896, chapitre 1.VIII., Religion.
- Francis Darwin, The Life and Letters of Charles Darwin, D. Appleton and Co., 1896, chapitre 1.VIII., Religion.
- Francis Darwin, The Life and Letters of Charles Darwin, Charles Darwin to C. Lyell, D. Appleton and Co., 1896, Down, avril [1860]
- Francis Darwin, The Life and Letters of Charles Darwin, D. Appleton and Co., 1896, Chapitre 2.XVI
- Conway Zirkle, Evolution, Marxian Biology and the Social Scene, Philadelphia; the University of Pennsylvania Press, 1959, p. 527 (soulignement ajouté)
- Robert M. Young, Darwinian Evolution and Human History, débat radio donné lors d’un cours à l’Open University sur Darwin à Einstein : Historical Studies on Science and Belief, 1980 (soulignement ajouté)
- L. Poliakov, Le Mythe Aryen, Editions Complexe, Calmann Lévy, Bruxelles, 1987, p. 343 (soulignement ajouté)
- Carl Cohen, Communism, Fascism and Democracy, New York: Random House Publishing, 1967, pp. 408-409 (soulignement ajouté)
- Fredrick Engels, Socialism: Utopian and Scientific, Part II: Science of Dialectics, (http://www.marxists.org/archive/marx/works/1880/soc-utop/ch02.htm)
- P. J. Darlington, Evolution for Naturalists, NY: Wiley, 1980, pp. 243-244
- Robert Shapiro, Origins: A Sceptic’s Guide to the Creation of Life on Earth, Summit Books, New York, 1986, p. 207 (soulignement ajouté)
- Benjamin Farrington, What Darwin Really Said, London: Sphere Books, 1971, pp. 54-56
- Charles Darwin, The Descent of Man, 2ème éd., New York: A.L. Burt Co., 1874, p. 178